Lettre de Tristam a Idrid

J'aurai préféré être à vos côtés ce soir seigneur Idrid, mais j'ai bien peur que mes blessures ne m'aient que trop gravement affaibli.
Selon le rebouteux je ne peux me permettre un voyage jusqu'à Hurlevent. Je sais qu'il était question que nous nous rencontrions, mais trouvez dans cette lettre l'expression de ma tristesse la plus profonde de ne pouvoir faire aboutir cette situation.

Sachez que si ce soir je prends la plume, c'est pour vous exprimer mon désir de me joindre à vous, et de brandir le fer pour une cause, qui ne doit pas être laissée à l'oubli.
Certes, Lordaeron n'est plus qu'une ombre au milieu de cendres. Mais, aujourd'hui son peuple orphelin se tourne vers un espoir.
Ce qui était il y a quelque temps un murmure, se voit incarné, et le nom de la Rédemption de Lordearon résonne au-delà des murs de Hurlevent.

Le sang des Arathis, qui autrefois servaient encore fièrement la maison du roi, n'est pas encore tari. Et c'est en porteur de cet héritage que je me tourne vers vous, car j'ai l'espoir qu'un jour viendra où ses chevaliers pourrons à nouveau siéger au conseil, au côté de leur roi...

Je me tiens à votre entière disposition. J'ai bon espoir que ces quelques mots, griffonnés maladroitement sur ce papier de fortune, seront la preuve la plus sincère de ma bonne foi et de mon dévouement.

Prenez ces mois, non comme ceux d'un serviteur, mais ceux d'un ami. Avec mon plus grand respect.

Tristam, Guerrier de cercle 17.

Messire,

Votre candidature a bien été prise en compte, merci de répondre à cette lettre en nouis signalant vos dates de disponibilité pour un entretiens de recrutement.

Cordialement,
Claire Dabérius, Chevalier d'Austrivage.

Salutation,

Je me tiens à votre disposition tous les soirs à partir de 21h, (sauf en cette soirée du samedi 24 janvier).
Sinon, je serai dans les environs d'Hurlevent ces jours-ci, disponible entre 15h et 17h.

Bien à vous,

Tristam